Piégée et soumise

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 6 ans

Ce soir, Michel, mon époux, et moi-même, décidons d’inviter des amis, et voisins, à la pendaison de la crémaillère. En gros, une dizaine de couples.

Je sors de la baignoire, lorsque Michel, entre dans la salle de bains, pour se doucher à son tour. Il se précipite sur la serviette, pour m’essuyer le dos.

-Que tu es belle, ma chérie. Tu ne veux pas qu’on fasse un petit câlin, avant l’arrivée des invités ?

-Oh non, dis-je, maintenant que j’ai pris mon bain.

-Mais juste de bouffer la chatte, mon amour…allez, je sais que tu aimes ça.

-Elle va être toute mouillée après…ah salaud, tu connais mes points faibles.

Je m’assieds sur le plan de travail du lavabo, écarte mes jambes. J’offre ma chatte, fraichement épilée, au doigt et à la langue de mon mari. J’ai un léger gémissement, quand il aspire mon clitoris.

-Tu sais ce que j’aime, salaud…vas-y, manges moi…

-Je vais te baiser, souffle mon mari.

Malgré une folle envie, je refuse, nos invités ne vont pas tardés à arriver. Michel n’insiste pas. Je lui fais une petite gâterie, histoire de le faire patienter.

Les invités, arrivent vers vingt heures. Que des amis, à part Vincent, la soixantaine, un collègue de bureau de mon mari, avec qui j’ai quelques atomes crochus. En plus, il est ventru…bref, d’une laideur repoussante.

La soirée se déroule autour d’un copieux buffet. Un DJ envoie quelques slows, ce qui rapprochent les convives, qui sans pudeur, changent de cavalière.

Je danse un slow langoureux avec mon mari, quand la proposition qu’il m’a fait dans la salle de bains, à savoir, me baiser, ressurgit. Avec le recul, je trouve cette idée, très excitante, et aimerai la mettre sur pied.

-Mon chéri, tu ne veux pas qu’on s’éclipse dans la chambre tous les deux. Je prendrais bien un coup de queue là…tout de suite. J’ai très envie.

-Oh, la salope…d’accord, mais vite fait…faut pas que nos invités s’aperçoivent de nôtre absence. N’éclaires pas, met toi à quatre pattes sur le lit, je vais te prendre en levrette…et surtout, pas un mot, qu’on ne nous entende pas, ok ?

-D’accord, J’ai hâte mon amour…ne tardes pas.

Je monte dans la chambre. Seule la lueur de la lune sera témoin de nos ébats.

Je me mets à genoux sur le fauteuil, et attend, jambes légèrement écartées.

Soudain, la porte s’ouvre. J’entends mon mari s’approcher de moi.

Deux mains glissent sur mes hanches, baissent ma culotte.

Un doigt s’insinue dans ma chatte, excite mon clitoris. Puis la queue, que je trouve énorme, me pénètre. C’est certainement une impression, dû au côté érotique de la scène, qui me la fait découvrir différente. En plus, je la trouve plus vivace…même les couilles qui frappent mes fesses me paressent plus grosses.

Seuls mes faibles gémissements de plaisirs troublent le silence de la chambre. J’atteins l’orgasme assez rapidement, mais ne l’extériorise pas, pour ne pas attirer l’attention. Par contre, je mords mes lèvres, quand il sort sa queue de ma chatte, et que, sans avertir, il me la plante dans le cul.

Mais il est fou, qu’est-ce qu’il lui prend. Je lui ai toujours refusé le côté pile. Toujours est-il qu’il m’encule, et bien profond. Je sens mon mari se tendre comme un arc. La situation perverse l’excite autant que moi, à tel point qu’à force de me faire bourrer le petit trou, je parviens à jouir pour la deuxième fois. Finalement, c’est bon de se faire enculer. Avoir une grosse bite dans le cul, n’est pas du tout désagréable.

Et je ne suis pas au bout de mes surprises. Il se retire et dans la pénombre, fait le tour du fauteuil, vient se placer devant moi. Sa queue cherche mes lèvres.

Surprise, j’ouvre la bouche pour recevoir l’offrande. Je sens la semence épaisse gicler au fond de ma gorge. Mon mari s’arrête, prend tout son temps pour se vider les couilles. De mes lèvres gourmandes, je lui nettoie le gland.

Mon mari quitte la chambre sur la pointe des pieds. J’allume, cherche ma culotte. Elle a disparue. A tout les coups, c’est lui qui la emportée.

Comme si rien ne s’était passé, je retrouve mon mari au bar, en compagnie de Carole, une belle blonde. Je m’approche, et lui murmure à l’oreille.

« Qu’est-ce que tu m’as fait, salaud. Non seulement tu m’as baisée, mais tu m’as aussi enculée…et pour finir, tu as craché dans ma bouche. Tout ce que j’ai toujours refusé à faire…en plus, j’ai trouvé ta queue énorme ce soir »

« Mais…qu’est-ce que tu racontes, je ne comprends pas, me chuchote-t-il. Je n’ai pas bougé de là…tu as bu ma chérie »

« C’est ça. Prend moi pour une conne…tu penseras à me rendre ma culotte. Par contre, tu as pris du ventre…faut te surveiller mon amour »

Je me retourne, et me trouve face à Vincent. Je mets ma main devant ma bouche, quand je vois ma petite culotte tourner autour de son poignet.

Oh non, ce n’est quand même pas lui qui était dans la chambre. A tous les coups, il a entendu le plan que je mettais en place avec Michel. Et ce salaud a pris sa place. Dans la pénombre je ne me suis aperçu de rien, si ce n’est la grosseur de son calibre, mais aussi la rondeur de son ventre, qui aurait du me mettre la puce à l’oreille.

Quel enfoiré, l’homme que je déteste le plus.

Je le prends par la manche, l’entraine de force à la cuisine, et ferme la porte. Je le traite de tous les noms d’oiseaux, lui donne des coups de pieds.

-Connard, tu as surpris la discussion que j’ai eu avec mon mari…quand tu as vu qu’il ne bougeait pas, tu as pris sa place. Rends moi ma culotte, et fou le camp.

Vincent me prend à la gorge, me clou contre le mur. Ses yeux exorbités me glace le sang. Il glisse une main entre mes cuisses, puis un doigt pénètre ma chatte encore mouillée.

-Tu vas te calmer, ok ? Ta culotte, je vais la rendre à ton mari. En plus, je vais lui dire tout ce qu’on a fait ce soir. D’après mes infos, il n’a jamais eu droit à tout ça lui.

-Non, arrêtes…ne fais pas ça.

-Ok, me dit Vincent, alors voila ce que tu vas faire. Débrouilles toi pour te débarrasser de ton mari cette nuit, et tu me rejoins dans la chambre d’amis.

Je n’ai d’autre choix que de céder à cet horrible chantage. Je retourne au salon retrouver mon mari. Il est installé au buffet, avec deux ou trois copains. Il ne tient pas l’alcool, et il est déjà bien endommagé.

Vers minuit, je le couche, dans un état lamentable. Il est ivre mort. Je le déshabille et le met au lit. Au passage, je jette un œil sur sa queue, toute molle. Je la trouve infiniment petite.

Je passe récupérer Vincent, et l’emmène à la chambre d’amis, comme le ferai une prostitué avec son client. Je sens que c’est ce que je vais faire, la pute.

A peine arrivé, Vincent se met entièrement nu, et m’invite à en faire autant. Le sexe que je vois pendre entre ses jambes, est impressionnant, et encore, il est au repos.

Vincent m’oblige à me mettre à quatre pattes. Il passe une cordelette arraché du rideau autour de mon cou, et me promène dans la pièce, comme s’il promenait sa chienne. Je lève la tête, et vois son énorme bite en érection, près de mon visage.

-Hum, fait-il, pour qui il est ce joli nonoss…regarde comme il est dur…allez, suce l’os de ton maitre…

Soumise, je prends la queue en bouche. Lentement, il commence à se branler. Il se vautre sur mon dos, le caresse. Un doigt glisse entre mes cuisses, lise la raie, la fente humide de ma chatte, jusqu’au clito. Puis il revient, s’attarde sur le petit trou.

-Ouah, mais c’est que la petite chienne est toute mouillée…elle doit être en chaleur. Tu vas voir, ton maitre va bien s’occuper de toi, quand tu auras fini de ronger ton os…hum, c’est bon hein ?

Je suis à la merci de cet affreux personnage, que je hais plus que tout. Il joue avec moi, me fait subir les pires humiliations, me promène autour de la chambre. Il est à deux mètres de moi, il me tend ses énormes couilles.

-Allez, petite chienne, viens chercher…attrapes les baballes.

La nuit est terrible. Je passe par tous ses caprices les plus pervers. Il me donne la fessée quand je n’obéis pas, à tel point que mes fesses en deviennent toutes rouges. Je le supplie de me laisser partir, que je ne dirai rien à mon mari.

-Arrêtes, je ne me suis jamais faite enculer, ni tailler des pipes, encore moins avaler. Il a fallu que ce soit toi le premier…t’es qu’un enfoiré.

-Ben tu vois, il te manquait un bon mâle. Avoue que tu as aimé…

-Bien sur que j’ai aimé…salaud.

-Allez, on va se reposer un peu, dit-il.

Il prend le lit, m’oblige à dormir sur la moquette. Quel macho.

Vers cinq heures du matin, il me demande de le rejoindre. Il se colle contre moi. Je sens sa queue tendue sur mes fesses. J’ai compris. De moi-même, j’écarte les cuisses pour faciliter le passage de cet énorme pieu.

La fin de la nuit est torride. Sa queue est rentrée en moi à cinq heures du matin, en est ressortie vers sept heures, sans débander, alternant chatte, petit trou, et bouche. Phénoménal.

Je ne sais pas combien d’orgasmes j’ai eu, entre hier soir, et cette nuit. En tout cas, j’ai pris énormément de plaisir, Vincent est un super amant.

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